L’individualisme peut être défini premièrement au sens courant comme le fait d’un individu qui ne pense qu’à lui-même sans se préoccuper d’autrui. Autrement dit, chacun pour soi et Dieu pour nous tous. Deuxièmement, dans un sens politique qui est davantage positif. L’individu est protégé par les droits, il est lié au principe démocratique et à la liberté. Enfin, au sens sociologique où l’individu est autonome et il s’arrache des normes et règles collectives de société.

En France, l’individualisme a apparu dans l’ancien régime lorsque la société s’est divisée en trois classes: clergé, tiers-état et noblesse. Cette discrimination ouverte a mené à la révolution française. Pendant cette période, les privilèges voient leurs fins et la croissance des campagnes pour l’égalité des droits pour tous les citoyens est témoignée. Au 20ème siècle, il y a la réaffirmation de ces droits et l’apparition de démonstrations plus ciblées: droits de l’enfant, égalité femmes et hommes, la discrimination des personnes défavorisées parmi d’autres.

L’individualisme porte ses propres défis. Un exemple est que la société devient moins solidaire. Par conséquent, les liens familiaux sont endommagés vue que le taux de divorce est à ras bord dans notre époque. Non seulement une société brisée mais aussi un danger pour la démocratie. Il est évident qu’il y a une hausse d’abstention aux élections. En outre, les citoyens n’ont plus le sentiment patriotique et ils ne s’intéressent pas aux affaires du gouvernement.

En somme, en dépit du fait que l’individualisme a autant d’effets négatifs, la société change vite aussi. Les individus perdent le respect notamment pour les valeurs communes. Des autres normes et des nouvelles valeurs sont crées pour guider la population. C’est à nous de savoir comment nous nous dirigerons désormais.

Par

Chelangat Brenda